La Gazette du renard #16 - Mars/Avril 2024

Une gazette en retard mais “mieux vaut tard que jamais” !

La Gazette du renard #16 - Mars/Avril 2024
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[Gazette rédigée avec 🌶️ par Caroline]
 
Hey tout le monde,
Oui cette gazette arrive avec un peu de retard parce que j'étais un brin occupée. Pourquoi ? Ça ne vous regarde pas. Bon OK, je répétais “Suzette” de Dany Brillant avec ma troupe de comédie musicale. Chacun son style de vacances (ne me jugez pas).
Sinon, ça va vous ?
De mon côté, j'étais au top, jusqu'à ce que je tombe sur l'info suivante : avec le réchauffement climatique, les arcs-en-ciel vont se faire de plus en plus rares en France.
Ça m’a mis un coup. Je suis très sérieuse : j’adore les arcs-en-ciel.
🌈
Mais heureusement, ma météo intérieure s’est éclaircie à la seconde où j’ai appris que le castor — mon animal préféré après le choupisson — sauvait le monde, et nous avec.
Et oui, les castors ne se contentent pas de pimper les rivières pour le plaisir : ils jouent un rôle clé dans la crise écologique. Leurs barrages favorisent :
  1. la biodiversité en divisant la rivière (eau stable d’un côté, eau courante de l’autre) ;
  1. le dépôt de sédiments grâce au ralentissement du cours d’eau, ce qui booste les plantes et fait venir insectes + poissons + tous ceux qui le veulent ;
  1. le stockage de l’eau, ce qui fait baisser la température des rivières.
En plus, en créant des zones humides, ça limite la décomposition de végétaux, ce qui contribue à piéger le carbone.
In fine on a des zones naturelles très riches, et surtout, moins de sécheresses, de feux de forêt, et d'inondations.
 
Merci qui ?
Merci qui ?
 
Et voilà, maintenant qu’on a parlé des sujets essentiels (arc-en-ciel et castor), passons aux incroyables histoires du mois.
Dans cette gazette, on va parler de plein de choses fascinantes comme d’oiseaux sauveurs d’arbres, de pluie de retour dans les terres, d’un être vivant qui résiste à des bombes atomiques… Ouais, on dirait qu’on est dans Les Animaux du Bois de Quat'sous (meilleur dessin animé).
J’espère que ça vous plaira car je le fais pour vous hein, pas juste pour le plaisir.
(C’est faux, j’adore mon travail, et je ne dis pas ça car ma boss le lit.)
 

😁 Ça m’a mis de bonne humeur


 

#1 - Des arbres sauvés in extremis de la coupe par… un couple de mésanges bleues !

 
Ont-elles formé un mur entre les arbres et les bulldozers ? Ont-elles explosé les tympans des bûcherons avec leur chant ? Non, c’est bien plus subtil que ça. Et mille fois plus poétique.
Flashback : depuis des mois, un paquet de monde (écologistes, scientifiques, associations, ma mère) s’oppose au projet de l'autoroute A69 reliant Toulouse à Castres. Pour un mince gain de temps de 20 minutes sur un trajet d’1h30 (tarif : 8,50 €), le projet menace d’artificialiser des centaines d’hectares de terres agricoles et naturelles, d’augmenter les émissions de CO₂e (on roule plus vite sur l’autoroute) et de signer l'arrêt de mort de centaines d'arbres, dont certains centenaires, ainsi que de grands platanes d'intérêt patrimonial, sans oublier les haies et arbustes.
Bref, un projet nul de A à Z 69.
Mais coup de théâtre, l'Office français de la biodiversité (OFB) a interdit l'abattage des arbres jusqu'au 1er septembre 2024, suite à la découverte de 14 espèces protégées, faisant du site une zone à fort enjeu écologique.
Les militants ont joué avec les armes du système : la loi. S'il y a nidification (= des oiseaux qui font un nid), on ne peut pas couper un arbre.
Ils ont alors fait barrage jusqu’à ce qu’il y ait nidification.
Et c’est la présence d’un couple de mésanges bleues qui a été décisive pour obtenir la protection légale des arbres. Un vrai travail d’équipe !
Les “écureuils” — pas le rongeur qui aime les glands mais les opposants perchés dans les arbres en signe de protestation — ont enfin pu redescendre pour boire, manger et dormir (mes 3 passions), en espérant que cette victoire ne soit pas que temporaire…
 
 

#2 - Bientôt la fin des pubs pour des joggings à 3 € en France.

 
“Canon ce jogging léopard, et au prix d’un café allongé en plus, ça vaut le coup !”
On a toutes et tous déjà craqué pour une fringue de fast fashion dont on n’a pas besoin (quoi pas vous ?), parfois sans être au courant de ce que ça impliquait.
Pollution de l’eau, émissions massives de CO₂e, accumulation de déchets, déforestation, conditions de travail désastreuses, exploitation des enfants... La liste est longue, et l’impact social et environnemental, catastrophique.
Pour réduire cet impact, l'Assemblée Nationale a franchi un pas décisif en votant une loi interdisant la publicité pour des géants comme Shein ou Temu, et en instaurant un malus pouvant atteindre 10 € par article vendu.
Ce n'est pas tout : les entreprises du secteur devront désormais afficher les impacts environnementaux de leurs produits et diffuser des messages alertant sur les effets néfastes de la mode jetable. Quand on voit le résultat sur les paquets de clopes, hâte de voir à quoi ça va ressembler sur les culottes Shein.
Cette décision marque un tournant : la France se positionne (pour une fois) en pionnière mondiale dans la lutte contre les excès de l’ultra fast fashion. Une initiative nécessaire, quand on sait que le secteur est responsable de 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
L'étape suivante est cruciale : le maintien du texte lors du passage au Sénat.
 
NB : Il paraît qu’on dit “CHI-INE” et pas “shayn”. Voilà, c’était l’instant boomer. Merci à mon petit cousin Joseph de me l’avoir expliqué avec le plus grand mépris du monde.
 
Source : France Info
 

#3 - Les nappes phréatiques ont repris du poil de la bête. Eau yeah!

 
"J'adore l'eau, dans 20-30 ans y'en aura plus."
Si vous n’avez pas la référence, navrée de vous dire que vous avez raté la meilleure vidéo des années 2000.
Selon les dernières infos du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), seulement un tiers des nappes phréatiques (36 %) se trouve sous les moyennes habituelles, alors qu'elles étaient 80 % dans cette situation l'année passée.
Mieux encore, presque la moitié (46 %) affiche un niveau au-dessus de la normale.
Toutefois, le sud du Massif central, le Languedoc et le Roussillon restent en manque d'eau, toujours confrontés à une sécheresse intense.
Alors, si comme moi, la grisaille et la pluie vous ont un poil déprimé ces derniers mois, réjouissez-vous : finalement, c'est une bonne chose.
Du moins, tant que cela n’entraîne pas d'inondations... Mais ça, c'est une autre histoire.
 
Blue daba di daba die.
Blue daba di daba die.
 
Source : Libération
 
 
Des nouvelles de Green-Got :

💪
En 36 jours, l’objectif des 10 millions d’euros déposés sur les assurances-vie GG Planet a été atteint.
10 millions, c’était notre objectif à atteindre en 90 jours : nous l’avons donc pulvérisé, grâce à nos membres !
 
Ça veut dire ce que ça veut dire :
  1. Des milliers de personnes ont décidé de placer leur épargne en investissant dans des entreprises engagées dans la transition écologique (bravo).
  1. Des millions d'euros vont être injectés dans des secteurs clés comme l'agriculture durable, les transports bas-carbone ou encore la rénovation énergétique des bâtiments.
  1. Je vais valider mes objectifs (hihihi).
→ Vous n'avez pas encore votre assurance-vie GG Planet ? Il est grand temps de rejoindre la liste d'attente ici et de donner du sens à votre épargne en soutenant la transition écologique.
PS - Les castors et les mésanges bleus vous regardent (non on n’exagère pas).
🤫
D’autres bonnes nouvelles de mars (mais ça reste entre nous hein) :
 
  • 2 (très) grandes banques ont pris contact avec nous pour discuter de leur impact en tant que… banque.
  • Green-Got a été nommée Impact40 (la sélection des 40 futures licornes de l’impact).
  • On a investi 10 millions d’euros directement dans la transition grâce à nos membres (oui on l’a déjà dit mais quand on aime, on ne compte pas).
 
Comment faire mieux maintenant ? Vous verrez en avril…
 
 

🤯 Ça m’a fait vriller


C'était un casse-tête de choisir un seul sujet ce mois-ci, tant les nouvelles étaient croustillantes (mais croustillantes genres cramées au four, pas genre petite gaufrette mimi au yuzu de Top Chef) :
 
Bref, j’ai passé mon mois à vriller mais le SUMMUM de l'absurde :
 
En 2023, plus du quart des activités de pêche au chalut s’est déroulé dans des aires marines… protégées.
Pas de blague ici, on n’est plus le 1er avril.
Selon un rapport de l'ONG Bloom, 63 % des aires marines protégées (AMP) de l'UE subissent un chalutage intensif, surtout en Espagne, en France et en Italie.
QUELQU’UN PEUT-IL M’EXPLIQUER le principe d’une aire marine protégée s’il vous plaît ? J’ai raté une info visiblement.
Le chalutage, c’est une technique de pêche qui détruit la biodiversité en raclant le fond marin : il devrait être interdit dans ces zones.
L'UE s'était engagée à protéger 30 % de ses eaux d'ici 2030, avec une protection stricte pour un tiers d'entre elles.
Cet engagement incluait l'exclusion de la pêche industrielle de ces AMP, et même de toute pêche dans les zones les plus strictement protégées.
Franchement, si même ce qui est en théorie protégé ne l’est pas dans les faits, je vais très sérieusement commencer à TOUT CASSER.
Et tout à coup, je me souviens que les loutres et The Office existent et ça va mieux.
 
Source : Le Monde
 

🤭 Ça m’a fait rire (jaune)


 
@green_got_ (Oui on fait aussi des mèmes rigolos sur Instagram : suivez-nous pour qu’on rit ensemble.)
@green_got_ (Oui on fait aussi des mèmes rigolos sur Instagram : suivez-nous pour qu’on rit ensemble.)
 
 

✨ Ça vous fera briller en société


Le seul être vivant à avoir survécu à la bombe nucléaire est… un arbre.
On est le 6 août 1945, une bombe atomique vient d’être larguée sur Hiroshima.
Dans un rayon de plus de 3 kilomètres, toute la ville et les êtres vivants sont anéantis, c’est l’hécatombe.
Tous, sauf un : un Ginkgo biloba.
 
“I’m a survivor”
“I’m a survivor”
 
Sur Terre, il existe deux groupes principaux d’arbres : les Gymnospermes (en gros, les conifères) et les Angiospermes (les feuillus).
Les Gymnospermes — en plus d’avoir un nom qui pourrait être celui d’une pratique sportive pour spermatozoïdes curieux — sont les plus anciens.
Parmi eux, le Ginkgo biloba, natif des montagnes du sud de la Chine, est réputé pour sa longévité millénaire, grâce à son extraordinaire capacité à ne jamais vieillir et à booster son système immunitaire.
Autant vous dire que si Bryan Johnson s’intéressait aux arbres, il en serait jaloux.
Le Ginkgo biloba est tellement résistant que c’est le seul être vivant à avoir survécu à la toxicité et aux radiations de la bombe nucléaire d'Hiroshima.
En fait, cet "arbre fossile" choisit, après un certain temps, de concentrer ses ressources sur sa défense plutôt que sur sa croissance.
Quelques mois après l'explosion, à un kilomètre à peine de l'impact, un Ginkgo biloba bourgeonnait de nouveau : ce rescapé est devenu un symbole de résilience au Japon.
 
Sources : Europe 1
 

🔎 Ça m’a fait me creuser la cervelle - Ça ressemble à quoi une France à +4 °C ?


Gentil rappel : c’est vous qui avez choisi ce sujet en votant sur Instagram, donc j’espère que vous allez le lire, histoire que je ne travaille pas pour rien.
(En vrai ça me fait plaisir, mais ne le dites pas à ma boss s’il vous plaît sinon elle va me donner plus de travail et j’ai un peu la flemme.)
→ Par ici pour choisir les prochains sujets de décryptage.
 
Si vous ne vivez pas encore parmi vos boîtes de conserve dans un bunker, vous l’avez probablement entendu : le ministre de la Transition écologique a lancé un appel pour adapter la France au changement climatique, en se préparant à +4 °C de réchauffement.
Quelques degrés en plus, comme ça, ça a l’air cool (”tant mieux il fera plus doux en hiver”) mais croyez-moi, ça ne l’est pas.
Du tout.
Et ça le sera encore moins si on ne s’y prépare pas.
 

Pourquoi on parle d’un réchauffement de + 4 °C en France ?


Avant de passer aux choses sérieuses, je voulais vous expliquer rapidement de quoi on parle.
Vous le savez, avec l’augmentation de la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère due aux activités humaines (transport, alimentation, logement et tutti quanti) la planète se réchauffe.
L'Europe — y compris la France — se réchauffe deux fois plus vite que la moyenne mondiale, notamment en raison de sa géographie et des courants atmosphériques.
Aux dernières nouvelles, le climat actuel s'est déjà réchauffé d'environ 1,7 °C en France (contre une moyenne de +1,2 °C dans le monde) par rapport au niveau préindustriel.
Voilà pourquoi les prévisions de réchauffement pour la France sont de :
  • +2 °C en 2030 (pour un réchauffement mondial de +1,5 °C) ;
  • +2,7 °C en 2050 (pour un réchauffement mondial de +2 °C) ;
  • +4 °C en 2100 (pour un réchauffement mondial de +3 °C).
 

Que va-t-il se passer dans une France à +4 °C ?


Les effets du changement climatique se manifesteront par une augmentation des canicules, sécheresses et événements extrêmes, rendant des phénomènes comme la canicule de 2003 habituels.
Rappel : la canicule de 2003, c’est 15 000 personnes décédées.
La réduction des précipitations et l'augmentation des températures entraîneront des pénuries d'eau, des risques d'incendies, et modifieront profondément le monde agricole, avec des impacts négatifs sur les rendements des cultures (surtout blé, maïs et soja).
La montée des eaux et l'intensification des précipitations menaceront les zones côtières, exigeant des adaptations importantes.
Le réchauffement climatique favorisera aussi la propagation de maladies transmises par des insectes comme le moustique tigre, augmentant les risques pour la santé publique et intensifiant les maladies respiratoires et liées à l'eau.
L'augmentation des températures affectera la biodiversité et rendra certaines régions difficiles à habiter durant l'été à cause de l'augmentation de l'humidité et des risques d'hyperthermie, posant de graves menaces pour la santé humaine.
Ambiance…
 

Des exemples histoire de bien se projeter


Pour vous donner une idée, si la température augmente de +4 °C d'ici 2100 en France, le nombre de jours de canicules pourrait être multiplié par 5 ou 10, s'étirant possiblement sur plus d'un mois et commençant dès mai pour s'achever en septembre (c’est long).
Autant vous dire qu’il va falloir arrêter de planter du blé dans le sud et peut-être commencer à s’intéresser aux dattes et aux oranges.
Le nombre de nuits tropicales — où la température ne descend pas en dessous de 20 °C — pourrait atteindre 50 jours par an dans le nord et 90 jours dans le sud de la France. Il faudra donc probablement réécrire le synopsis de Bienvenue chez les Ch'tis.
Certaines grandes villes comme Paris pourraient devenir partiellement ou totalement inhabitables en raison de la chaleur.
Au même horizon, le taux d'enneigement sera divisé par trois dans le massif du Mont-Blanc.
Vous avez une petite maison à l’île d’Oléron ? Profitez-en car la montée des eaux pourrait inonder une grande partie de l’île (c’est valable aussi pour l’île de Ré). La hausse des niveaux marins, pouvant atteindre un mètre d'ici 2100, menacera de submerger et d’inonder les zones côtières densément peuplées comme Calais et Dunkerque, qui auront les pieds régulièrement dans l’eau.
Last but not least : comme je l’ai mentionné au début de cette gazette, les périodes propices aux arcs-en-ciel pourraient diminuer d’une quarantaine de jours par an sur les bords de la Méditerranée (snif).
🌈
 
Voilà voilà.
Voilà voilà.
 

Je ne vous fais pas un dessin : il faut réduire nos émissions pour éviter le pire scénario de réchauffement et que les catastrophes se multiplient.
En parallèle, il est primordial de se préparer car même si on réduit nos émissions, certains des effets du réchauffement climatique déjà présents persisteront (même si on atteint la neutralité carbone).
Voilà pourquoi l’adaptation au changement climatique est nécessaire : on a plus que jamais besoin d’initiatives pour protéger les personnes (surtout les plus fragiles), préparer les territoires, renforcer la résilience de l'économie et préserver le milieu naturel et le patrimoine culturel.
 
Désolée si vous êtes à deux doigts de la crise d’angoisse, c’est vous qui avez choisi le sujet. Allez, respirez un grand coup, on est ensemble.
Conseil d’amie : passez à l’action, ça soignera votre éco-anxiété. Nous depuis qu’on a créé Green-Got, ça va un peu mieux.
 
 

🗳️ L’avis du (meilleur) public


 
What time is it? It’s sondage time!
Ce mois-ci, un sujet sérieux : quelle cause environnementale vous tient le plus à cœur ?
  • La lutte contre le changement climatique
  • La préservation de la biodiversité
  • La réduction de la pollution plastique
  • Le développement d'une agriculture durable
  • La protection des océans et cours d'eau
  • Une extinction de voix à durée indéterminée pour les climatosceptiques.
 
🗳️ Pour voter, cliquez simplement sur la réponse de votre choix : résultat dans la prochaine gazette.
 
Résultats du mois dernier
On vous avait demandé si Caro (coucou c’est moi) devait continuer à écrire cette gazette mensuelle. Voici vos réponses, je me suis permise de rajouter des commentaires (à retrouver après la →) étant donné qu’on parle de moi :
A. Oui, je l’adore !
54,8 %
→ 🫶
B. Oui, mais plus souvent.
14 %
🫶 (mais j’ai pas le temps sorry.)
C. Oui, mais moins souvent.
11,3 %
→ Fair enough (je suis à la bourre ce mois-ci, rien que pour vous.)
D. Non arrête-toi pitié.
10,5 %
→ Oh mes premiers haters. 🥲
E. C’est qui Caro ?
9,5 %
→ Moi = 1,68 m + gémeau ascendant scorpion + sait faire le grand écart + adore les œufs durs + 🌈
 
 

🧑‍🍳 La recette du mois


Même si ça ressemble à un cerveau dans du formol, j’adore le chou-fleur.
Pardon pour l’image, mais c’est la réalité.
Braisé, frit ou à la vapeur, je l’aime sous toutes ses cuissons. Mais j’avoue, c’est quand même rôti que je le trouve au top de sa forme !
Alors voilà, tant que c’est encore la saison, j’abuse de la recette à la fois simple et exquise du chou-fleur rôti de The Chef Tomy :
 
Petit twist personnel : j'ajoute une poignée de cacahuètes.
 

J'espère que mes haters ont savouré chaque ligne de cette gazette. Perso, j'ai pris un plaisir fou à l’écrire pour vous.
Et pour mes lovers : gros poutous ! Je lis chaque douceur que vous m'envoyez dès que ce petit morceau de mon univers atterrit dans votre boîte mail. Ça illumine ma journée (mais gardons ça entre nous, je me la joue modeste au bureau).
À plus dans l’bus,
Caro 🦊
 
💌
Vous avez aimé lire ma gazette ? Merci pour moi. N’hésitez surtout pas à en parler autour de vous, j’adore ça. Par ici pour la partager aux francophones du monde entier.
Caroline

Ecrit par

Caroline

Responsable de rédaction chez Green-Got. Souvent de bonne humeur 🌈